La Vie invisible
Guillaume Poix / Lorraine de Sagazan
tarif réduit : 9 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1h Mobilité réduite Malvoyant
Texte : Guillaume Poix, à partir de témoignages de personnes non et mal-voyantes
Conception et mise en scène : Lorraine de Sagazan
Collaboration artistique et dramaturgie : Romain Cottard
Avec : Romain Cottard, Chloé Olivères et Thierry Sabatier
Lumière : Nicolas Diaz
Son : Clément Rousseaux
Costumes : Dominique Fournier
Régie générale: Marc Couffignal
Coproduction : Théâtre de la Ville–Paris
Accueil en résidence : Communauté de communes Royans Vercors
Avec le soutien du Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, dans le cadre du Fonds régional pour l'Innovation Artistique et Culturelle – FIACRE
Remerciements à Fabrice Berraud, Béatrice da Silva, Sylvie Giraud, Enzo Hortal, Béatrice Krekdjian, Chantal Lamalle, Jacqueline Lingois, Joëlle Louchard, Gisèle Mariller, Élise Migayrou, Gilbert Montagne, Michel Pejac, Thérèse Pont, Korridwen Quaegebeur, Didier Reaume, Thierry Sabatier, Lucette Seigle, Augustin Tallard, Romain Zenasni
Lorraine de Sagazan est membre de l’Ensemble artistique de La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche
Avec le soutien de l'Onda - Office national de diffusion
Crédit photo : Christophe Raynaud de Lage
"Avec peu, elle donne vie à tout un monde, à une famille, à une pièce, à la possibilité du pardon salvateur. Toute en délicatesse, La vie invisible attrape et saisi." L'oeil d'Olivier
"Un spectacle touchant et original" La Terrasse
L’emprise des sens
Lorraine de Sagazan fait un théâtre de haute tension à forte densité émotionnelle. Quand elle collabore avec l’auteur Guillaume Poix, leurs pièces écrites à quatre mains à partir de témoignages cherchent à entrelacer le réel et la fiction.
Comment se construisent les souvenirs de celles et ceux qui ont perdu la vue ? Pour répondre à cette question, le duo a rencontré des personnes déficientes visuelles. Parmi elles, Thierry, dont l’histoire personnelle ouvre cette Vie invisible. Que reste-t-il de cette pièce de théâtre à laquelle il a assisté et dont il ne se souvient de rien sinon la déflagration intime qu’elle provoqua ? Au fil des strates qui composent l’étoffe d’une vie, cette forme brève glisse imperceptiblement de l’intime vers l’universel, tout en délicatesse.