Eva Zaïcik & Le Consort
Royal Handel
tarif réduit : 12 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1h15 Mobilité réduite Malvoyant
Georg Friedrich Händel - Overture - Rinaldo (1711)
Attilio Ariosti - Sagri Numi - Caio Marzio Coriolano (1723)
Georg Friedrich Händel - Svegliatevi nel core, Giulio Cesare in Egitto (1724)
Concerto pour violon en si bémol majeur HWV 288
Lascia ch’io pianga, Rinaldo (1711)
L’aure che spira, Giulio Cesare in Egitto (1724)
Inumano Fratel, Tolomeo Re d’Egitto (1728)
Stille Amare, Tolomeo Re d’Egitto (1728)
Crude furie, Serse (1738)
Passacaille, Terpsichore (1734)
Ah tu non sai, Ottone (1711)
Giovanni Bononcini
Strazio, scempio, furia e morte - Crispo (1723)
Georg Friedrich Händel
Where shall I fly, Hercules (1744)
Eva Zaïcik - voix
Sophie de Bardonnèche - violon
Justin Taylor - clavecin
Elsa Franck - hautbois
Evolène Kiener - basson
Clément Batrel Génin - alto
Thomas de Pierrefeu - contrebasse
Hanna Salzenstein - violoncelle
Louise Ayrton - violon
Christophe Robert - violon
Eva Zaïcik
Très tôt remarquée pour la beauté et la longueur de la voix, dont l’ampleur et la souplesse lui permettent de chanter aussi bien Monteverdi que Berlioz, Rossini et Bizet, Eva Zaïcik s’est imposée comme l’une des artistes lyriques les plus en vue de sa génération. En outre, elle cultive une diversité musicale favorisant les explorations les plus audacieuses aux côtés de musiciens de premier plan.
En 2018, coup sur coup, elle est Révélation lyrique aux Victoires de la Musique classique, Deuxième Prix au Concours Reine Elisabeth de Belgique et au Concours Voix Nouvelles.
Le Consort
Le Consort, ensemble de musique de chambre unique en son genre, réunit quatre jeunes musiciens qui interprètent avec enthousiasme, sincérité et modernité le répertoire de la sonate en trio. De Corelli à Vivaldi, de Purcell à Couperin, le dialogue entre les deux violons et la basse continue déploie une richesse de contrastes entre vocalité, sensualité et virtuosité. Le Consort s’empare de ce genre, quintessence de la musique de chambre baroque, et l’interprète avec un langage personnel, dynamique et coloré. Le Consort est en résidence à la Banque de France, à la Fondation Singer-Polignac ainsi qu’à l’Abbaye de Royaumont.
En juin 2017, Le Consort remporte le Premier Prix et le Prix du Public lors du Concours International de Musique Ancienne du Val de Loire, présidé par William Christie. L’ensemble s’est produit à Paris (Auditorium de Radio France, Auditorium du Louvre...), à l’Opéra de Dijon, au Festival de Pâques de Deauville, à l’Arsenal de Metz, au MA Festival Brugge (BE), au Festival de Sablé, à la Fondation Pau Casals (ES), à Anvers de Singel (BE), ou encore au Festival Misteria Paschalia à Cracovie (PL)… On a également pu entendre l’ensemble dans de nombreuses émissions sur France 3, France Musique, France Inter ou Radio Classique.
"La virtuosité des musiciens, le travail d’alchimiste sur les timbres, la transparence harmonique découlant de cet allègement et le parfait alliage de vigueur et de délicatesse permettent de s’abandonner au seul plaisir de l’écoute." Diapason
"La voix [d'Eva Zaïcik] entre en fusion avec celles des instruments" TTTT Télérama
"Les introductions orchestrales sont très fouillées" Classica
"Délicatesse du timbre, finesse du texte, théâtralité raffinée" L'Echo
Dolce vita londonienne
1719 : Georg Friedrich Haendel devient directeur musical de la Royal Academy of Music de Londres. Après un séjour de 4 ans à Rome, l’Allemand est chargé par des Anglais férus d’opéra italien de développer le genre lyrique sur leurs terres. Accompagnée par les 9 instrumentistes du Consort, ensemble baroque à l’incroyable vitalité, la mezzo-soprano Eva Zaïcik nous propose de revivre cette époque où compositeurs et artistes circulaient activement dans toutes les cours d’Europe. La musique, vivante, se nourrissait déjà de multiples influences…
De son timbre solaire et voluptueux, elle interprète des airs d’opéras de Haendel – indéniables petits bijoux ! – avec agilité et panache, mettant tout en œuvre pour que sa voix entre en fusion avec celles des instruments. Un travail d’alchimiste, alliage de vigueur et de délicatesse, qui doit beaucoup à la complicité qui l’unit au Consort.
