D'après
une histoire vraie
Christian Rizzo
tarif réduit : 9 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1h10 / à partir de 10 ans
Conception, chorégraphie, scénographie et costumes : Christian Rizzo
Interprétation : Fabien Almakiewicz, Yaïr Barelli, Massimo Fusco, Miguel Garcia Llorens, Pep Garrigues, Kerem Gelebek, Filipe Lourenço ou Smaïn Boucetta, Roberto Martinez
Musique originale : Didier Ambact et King q4
Musique live : Didier Ambact et King q4 ou Thomas Calegari
Lumières : Caty Olive
Assistante artistique : Sophie Laly
Régie générale : Jérôme Masson ou Victor Fernandes
Arrangements sonores : Vanessa Court ou Frédéric Peugeot
Régie lumière et vidéo : Arnaud Lavisse, Samuel Dosière et Erik Houllier
Né en 1965 à Cannes, Christian Rizzo fait ses débuts artistiques à Toulouse où il monte un groupe de rock et crée une marque de vêtements, avant de se former aux arts plastiques à la villa Arson à Nice. Le hasard des rencontres le mène sur scène. Dans les années 1990, il est interprète auprès de nombreux chorégraphes contemporains, signant aussi parfois des bandes sons ou la création des costumes. En 1996, il fonde l’Association fragile et présente performances, objets dansants et pièces chorégraphiques en alternance avec d?autres projets ou commandes pour la mode et les arts plastiques. Depuis, plus d?une trentaine de productions ont vu le jour. Christian Rizzo enseigne régulièrement dans des écoles d?art en France et à l?étranger, ainsi que dans des structures dédiées à la danse contemporaine. De 2007 à 2012, il est artiste en résidence à l?Opéra de Lille. Il y crée mon amour et comment dire « ici » ? en 2008, L’oubli, toucher du bois en 2010 puis Le bénéfice du doute en 2012. En 2010, il met en scène trois opéras : Erwartung et Pierrot lunaire de A. Schoënberg et La Voix humaine de F. Poulenc. Au japon, il conçoit l?exposition as me as a dog as… une série de photos présentée dans le cadre de la Yokohama France Vidéo. Sur la saison 2010 - 2011, il est artiste associé à deSingel - Anvers - Belgique. Il est artiste- professeur invité au Fresnoy (Studio National des Arts Contemporains - Tourcoing). Sur la saison 2011 - 2012, il crée l?installation-performance Tourcoing - Taipei – Tokyo présentée à l?institut Franco - Japonais de Tokyo, le bénéfice du doute ainsi que le solo sak?nan göze çöp bata et met en scène l?opéra Tannhäuser de Wagner. Il créé également en collaboration avec Sophie Laly néo-fiction à Seattle. En 2013, Christian Rizzo crée De quoi tenir jusqu’à l’ombre et D’après une histoire vraie pour le Festival d?Avignon. En novembre 2013, il met en scène Aïloviou, je l'écris comme je le prononce de Didier Galas. Il reçoit le prix de la Chorégraphie SACD 2013. En 2014, Christian Rizzo et Caty Olive créent Ou pas, une installation vivante spécialement imaginée pour le Ballet National de Marseille ; D'après une histoire vraie reçoit le Grand Prix danse du Syndicat de la critique ; et Christian Rizzo est nommé officier de l'ordre des Arts et des Lettres par le ministère de la Culture et de la Communication. Au 1er janvier 2015, Christian Rizzo prend la direction du Centre Chorégraphique National de Montpellier-Languedoc Roussillon.
Production déléguée : I.C.I – Centre Chorégraphique National de Montpellier-Languedoc-Roussillon.
Production, diffusion : Anne Fontanesi et Anne Bautz
Coproduction : L’association fragile; Théâtre de la Ville de Paris; Festival d’Avignon; Opéra de Lille ; Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse - Midi-Pyrénées; La Ménagerie de Verre de Paris ; La Filature, Scène Nationale de Mulhouse ; l’Apostrophe, Scène Nationale de Cergy-Pontoise et du Val-d’Oise ; Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape / direction Yuval Pick.
En écho
Pour raviver le souvenir d’une danse folklorique masculine observée dans les rues d’Istanbul, Christian Rizzo réunit huit danseurs méditerranéens. Avec eux, et loin de toute référence à une communauté, il invente une danse de meute exaltante et jouissive. Au son des deux batteries, véritables rafales de percussions qui prennent aux tripes et contaminent la chorégraphie, Rizzo crée une danse percutante. Le folklore méditerranéen se mêle au rock tribal pour créer un spectacle hyper-contemporain et jubilatoire.
Christian Rizzo a déjà été accueilli à La Passerelle avec notamment Lʼoubli, toucher du bois (2010) et Le bénéfice du doute (2013). Depuis janvier 2015, il est directeur du Centre Chorégraphique de Montpellier.