Beatrice Berrut
tarif réduit : 9 €
tarif solidaire : 6 € Petit théâtre 1h15 Malvoyant
« Jugendstil » : en français « Art Nouveau »
Mahler/Berrut
- Adagietto de la 5e symphonie (9’)
- Menuetto de la 3e symphonie (11')
- Andante Moderato de la 6e symphonie (17’)
Schönberg/Berrut
- Paraphrase sur la Verklärte Nacht (29’) (la Nuit Transfigurée)
Béatrice Berrut, piano
Beatrice Berrut s’adonne à la transcription d’œuvres symphoniques pour le piano, et écrit sa musique, ce qui lui permet de parcourir les scènes et les festivals avec des programmes de récitals originaux et inédits. Elle est notamment invitée comme soliste par des orchestres tels que la Philharmonie de Dortmund, l’English Chamber Orchestra, l’Orchestre National des Pays de la Loire, le Saarländisches Staatsorchester, la Hofkapelle de Meiningen, l’orchestre Philharmonique de Cracovie.
Egalement cheffe d’orchestre, ses collaborations l’ont menée dans des maisons d’opéra telles que l’Opéra Comique de Paris, le Staatstheater de Meiningen, l’Opéra de Limoges, et elle a fait ses débuts en décembre 2019 avec le Saarländisches Staatsorchester dans un programme symphonique enregistré par la SR2 Kultur Radio.
La discographie de la pianiste suisse est au centre de ses réflexions, et après un hommage à Schumann - son premier opus est consacré à ses trois sonates pour piano – suivent deux albums consacrés à deux grands mystiques : Bach et Liszt.
Cette représentation est le report du concert prévu initialement les 8 et 9 mars 2022.
Vienne sans valses
Beatrice Berrut fait partie des pianistes les plus étonnantes de la nouvelle génération. Son enfance passée dans les montagnes suisses a marqué le caractère de la musicienne qui raconte sa rencontre avec le 2e Concerto de Brahms, à 11 ans, comme un véritable choc. Plus tard, c’est Liszt qui inspire profondément le répertoire de ce tempérament singulier. Sillonnant le monde, en récital ou avec orchestre, elle défend des programmes qui sortent des sentiers battus, explorant les possibilités insoupçonnées du piano.
Avec Jugendstil – littéralement « Art nouveau » – Beatrice Berrut nous invite à Vienne, au tournant du XXe siècle, à la (re)découverte de la musique surprenante de Gustav Mahler. Une première partie chatoyante avant une paraphrase inédite de la Nuit Transfigurée (Verklärte Nacht) du génial Arnold Schönberg : la Suissesse réussit le tour de force de faire sonner cette musique écrite à l’origine pour six archets sur les 88 touches du piano. Magistral.
Feuille de salle Beatrice Berrut
Si vous possédez un billet de spectacle pour les concerts de 8 et 9 mars, l’échange à l’accueil/billetterie de La Passerelle est impératif pour accéder au concert du jeudi 7 avril.
Vous pouvez aussi demander votre remboursement ou bien l’échange pour un autre spectacle de la saison.