Quatuor Akilone
tarif réduit : 12 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1h30 avec entracte
Dvo?ák, Les Cyprès
Janá?ek, Lettres intimes
Bartók, Quatuor n° 1 en la mineur
Emeline Concé, violon
Elise De Bendelac, violon
Tess Joly, alto
Lucie Mercat, violoncelle
Reconnu pour la vision poétique des œuvres qu’il aborde, le Quatuor Akilone défend avec sensibilité, intelligence et fantaisie le vaste répertoire du quatuor à cordes. Il est le fruit d’une aventure humaine et musicale qui est née en 2011 à Paris. Lauréat du Premier Grand Prix du 8e Concours international de Quatuor à cordes de Bordeaux et du prix ProQuartet en mai 2016, le Quatuor Akilone est depuis en tournée en Europe et au Japon. Il s’est déjà produit entre autre au Wigmore Hall à Londres, à la Scuola Grande di San Giovanni Evangelista à Venise, au Munetsugu Hall à Nagoya, à la Maison de la Radio et à la salle Cortot à Paris et dans des festivals tels que Les Vacances de Monsieur Haydn, l’Orangerie de Sceaux ou le Festival des Arcs.
Ce jeune ensemble aime également s’associer à d’autres musiciens comme Vladimir Mendelssohn, Tabea Zimmermann, Avri Levitan, Jérôme Pernoo, David Walter, Florent Héau, Jean- François Heisser et Pavel Gililov. Il s’est formé auprès de grands chambristes tel Hatto Beyerle avec qui il travaille étroitement, Johannes Meissl, Vladimir Mendelssohn et les membres des quatuors Ysaÿe, Rosamunde et Ebène. Il reçoit également les précieux conseils de Mathieu Herzog.
En écho
Aimer la Bohême
Le Quatuor Akilone lance une invitation à voyager jusqu’en Europe centrale. Au tournant du XXe siècle, Josefina, Kamila, Stefi font tourner les cœurs et les têtes de Dvořák, Janáček et Bartók. Le jeu tout en contrastes du quatuor féminin met en relief un épisode de la vie amoureuse des grands compositeurs de l’époque, nourris par les airs populaires et par la musique romantique allemande.
La conquête pour commencer : le jeune Dvořák écrit Les Cyprès pour emporter le cœur de Josefina.
La vie de couple ensuite : Lettres intimes est un miroir des sentiments que le tchèque Janáček éprouve pour sa muse Kamila. Joie, doute, élans lyriques et mots tendres s’y bousculent.
La rupture enfin : celle de Bartók avec la violoniste Stefi Geyer lui fait écrire un des plus beaux chants d’amour de la littérature du quatuor à cordes.
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Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue du concert
