Marius
Joël Pommerat
tarif réduit : 18 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1h20 Mobilité réduite
Une création théâtrale de Joël Pommerat librement inspirée de la pièce de Marcel Pagnol, en collaboration avec Caroline Guiela Nguyen et Jean Ruimi.
Avec : Damien Baudry, Élise Douyère, Michel Galera, Ange Melenyk, Redwane Rajel, Jean Ruimi, Bernard Traversa, Ludovic Velon.
Scénographie et lumière : Éric Soyer
Assistante à la mise en scène : Lucia Trotta
Assistant à la mise en scène : Guillaume Lambert
Direction technique : Emmanuel Abate
Direction technique adjointe : Thaïs Morel
Costumes : Isabelle Deffin
Création sonore : Philippe Perrin, François Leymarie
Renfort assistant : David Charier
Régie son : Fany Schweitzer
Régie lumière :Julien Chatenet
Régie plateau : Ludovic Velon
Construction décors : Thomas Ramon - Artom
Accessoires : Frédérique Bertrand
Avec l'accompagnement de Jérôme Guimon de l'association Ensuite.
Diffusion internationale, missions spéciales et agent : Anne de Amézaga
Administratrice : Elsa Blossier
Co-directrice : Magali Briday-Voileau
Chargée de production : Alice Caputo
Responsable des tournées : Pierre-Quentin Derrien
Directrice de production : Lorraine Ronsin-Quéchon
Coproduction : La MC93 – Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis à Bobigny ; La Coursive - Scène nationale de La Rochelle ; le Festival d’Automne à Paris ; le Théâtre Brétigny ; Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise ; le Printemps des Comédiens - Cité européenne du théâtre - Domaine d’O - Montpellier. Avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, de l’association Ensuite, et du Théâtre de l'Agora - Scène nationale de l’Essonne.
Ce spectacle n’aurait pas vu le jour sans le soutien logistique, financier et moral de ses partenaires précieux, qui ont permis les restitutions publiques en 2017 au sein de la Maison Centrale d’Arles malgré toutes les difficultés à surmonter : La Maison Centrale d’Arles ; La compagnie Les Hommes Approximatifs ; Le Théâtre d'Arles, scène conventionnée art et création-nouvelles écritures ; La Garance - Scène nationale de Cavaillon ; Jean-Michel Grémillet ; Le SPIP 13 ; La Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires PACA ; La Direction et les personnels de la Maison Centrale ; L’Équinoxe - Scène nationale de Châteauroux ; Le Printemps des Comédiens ; La MC93 - Bobigny ; Le CNCDC de Châteauvallon - Scène nationale ; La Coursive - Scène nationale de La Rochelle ; Le Théâtre Olympia - Centre dramatique national de Tours ; Le Merlan - Scène nationale de Marseille ; La Criée - Théâtre National de Marseille ; Le Théâtre de la Porte-Saint-Martin ; la Fondation E.C. Art Pomaret ; la Fondation d’entreprise Hermès.
Crédit photo : Agathe Pommerat
"C’est peu dire que de souligner ici la justesse de l’ensemble de la distribution. [...] Le bout de destin de Marius se déroule inexorablement jusqu’à son issue, que d’aucuns connaissent déjà. Ainsi qu’il nous a été livré, il nous laisse frappés d’une grande émotion." L'Humanité
"Un geste radical élaboré en prison, qui se joue désormais à l’air libre, et conjugue en une même vibration, mélancolie, humour et amour fou." Les Inrockuptibles
"C’est la force de cette pièce, Marius, qui, comme l’étymologie du prénom le programme, attend de prendre la mer, de sortir définitivement du décor unique et d’un temps long de peines, sans que rien ne puisse l’arrêter. Surtout pas l’amour, qui serait une nouvelle condamnation à perpétuité. Tout cela fonctionne, tout est juste [...] Comme le chante Jeanne Mas dans son Johnny, Johnny : «Épuisé par tant d’efforts, [on] l’aime encore." Libération
Ô Fada !
Une boulangerie déserte à la vitrine bien approvisionnée, une table, quelques chaises, un distributeur de boissons : Joël Pommerat adapte Marius de Pagnol en le transposant dans le Marseille d’aujourd’hui. Ici, la langue et la gouaille sont les personnages principaux du drame qui se joue dans la tête d’un jeune homme (Marius) épris de liberté et d’une furieuse envie de mettre les voiles. Rester auprès des siens, de son amie d’enfance (Fanny), de son père (César) dans cette ville où il a grandi ? Ou partir ? Le dilemme entre obéissance et besoin d’évasion est au cœur de ce grand classique de la littérature française que Joël Pommerat réécrit – prolongeant ainsi un travail théâtral mené en milieu carcéral – sans le trahir. Enrichie avec le vécu de chacun, la pièce trouve un écho d’autant plus grand, d’une vérité saisissante. Une version âpre, intense, qui touche en plein cœur.
Conseillé à partir de 10 ans.
Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du mercredi 10 décembre, en présence de Jérome Guimon de l’association Ensuite, une structure d’accompagnement social et artistique, basée en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui découle de la troupe de théâtre fondée en 2014 en prison, à la Maison Centrale d’Arles, par Jean Ruimi et Joël Pommerat.
tarif réduit : 18 €
tarif solidaire : 6 € Théâtre Louis Guilloux 1h20 Mobilité réduite
Une création théâtrale de Joël Pommerat librement inspirée de la pièce de Marcel Pagnol, en collaboration avec Caroline Guiela Nguyen et Jean Ruimi.
Avec : Damien Baudry, Élise Douyère, Michel Galera, Ange Melenyk, Redwane Rajel, Jean Ruimi, Bernard Traversa, Ludovic Velon.
Scénographie et lumière : Éric Soyer
Assistante à la mise en scène : Lucia Trotta
Assistant à la mise en scène : Guillaume Lambert
Direction technique : Emmanuel Abate
Direction technique adjointe : Thaïs Morel
Costumes : Isabelle Deffin
Création sonore : Philippe Perrin, François Leymarie
Renfort assistant : David Charier
Régie son : Fany Schweitzer
Régie lumière :Julien Chatenet
Régie plateau : Ludovic Velon
Construction décors : Thomas Ramon - Artom
Accessoires : Frédérique Bertrand
Avec l'accompagnement de Jérôme Guimon de l'association Ensuite.
Diffusion internationale, missions spéciales et agent : Anne de Amézaga
Administratrice : Elsa Blossier
Co-directrice : Magali Briday-Voileau
Chargée de production : Alice Caputo
Responsable des tournées : Pierre-Quentin Derrien
Directrice de production : Lorraine Ronsin-Quéchon
Coproduction : La MC93 – Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis à Bobigny ; La Coursive - Scène nationale de La Rochelle ; le Festival d’Automne à Paris ; le Théâtre Brétigny ; Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise ; le Printemps des Comédiens - Cité européenne du théâtre - Domaine d’O - Montpellier. Avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, de l’association Ensuite, et du Théâtre de l'Agora - Scène nationale de l’Essonne.
Ce spectacle n’aurait pas vu le jour sans le soutien logistique, financier et moral de ses partenaires précieux, qui ont permis les restitutions publiques en 2017 au sein de la Maison Centrale d’Arles malgré toutes les difficultés à surmonter : La Maison Centrale d’Arles ; La compagnie Les Hommes Approximatifs ; Le Théâtre d'Arles, scène conventionnée art et création-nouvelles écritures ; La Garance - Scène nationale de Cavaillon ; Jean-Michel Grémillet ; Le SPIP 13 ; La Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires PACA ; La Direction et les personnels de la Maison Centrale ; L’Équinoxe - Scène nationale de Châteauroux ; Le Printemps des Comédiens ; La MC93 - Bobigny ; Le CNCDC de Châteauvallon - Scène nationale ; La Coursive - Scène nationale de La Rochelle ; Le Théâtre Olympia - Centre dramatique national de Tours ; Le Merlan - Scène nationale de Marseille ; La Criée - Théâtre National de Marseille ; Le Théâtre de la Porte-Saint-Martin ; la Fondation E.C. Art Pomaret ; la Fondation d’entreprise Hermès.
Crédit photo : Agathe Pommerat
"C’est peu dire que de souligner ici la justesse de l’ensemble de la distribution. [...] Le bout de destin de Marius se déroule inexorablement jusqu’à son issue, que d’aucuns connaissent déjà. Ainsi qu’il nous a été livré, il nous laisse frappés d’une grande émotion." L'Humanité
"Un geste radical élaboré en prison, qui se joue désormais à l’air libre, et conjugue en une même vibration, mélancolie, humour et amour fou." Les Inrockuptibles
"C’est la force de cette pièce, Marius, qui, comme l’étymologie du prénom le programme, attend de prendre la mer, de sortir définitivement du décor unique et d’un temps long de peines, sans que rien ne puisse l’arrêter. Surtout pas l’amour, qui serait une nouvelle condamnation à perpétuité. Tout cela fonctionne, tout est juste [...] Comme le chante Jeanne Mas dans son Johnny, Johnny : «Épuisé par tant d’efforts, [on] l’aime encore." Libération