ce que je veux dire
Laurance Henry
tarif réduit : 8 €
tarif solidaire : 6 € Collège Racine - Saint-Brieuc 1h environ Mardi 12.03.2024 - 14:30 Mobilité réduite
Texte, mise en scène et scénographie : Laurance Henry
Avec : Maria Aziz Alaoui, Tiebeu Marc-Henry Brissy Ghadout, Thomas Couppey
Assistante chorégraphique : Pauline Maluski
Assistant et direction technique : Erik Mennesson
Composition musicale : Sylvain Robine
Lumières et régie : Ydir Acef
Costumes : Sophie Hoarau
Regard et dialogue philosophique : Dominique Paquet
Laurance Henry est plasticienne, scénographe de formation (Ecole des Beaux- Arts de Rennes puis Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg). Elle a été artiste associée du Centre Dramatique De Bretagne / Théâtre de Lorient, artiste compagnonne de La Garance / Scène Nationale de Cavaillon. Elle est actuellement artiste associée du Théâtre du Champ Exquis, Scène Conventionnée Art Enfance Jeunesse à Blainville-sur-Orne.
Ses pièces théâtrales et chorégraphiques se singularisent par un univers plastique épuré. ce que je veux dire est la deuxième pièce d’un cycle de créations débuté avec mOts premiers où Laurance Henry interroge la notion du langage, des langages, textuel, corporel, gestuel…
Soutiens : Le Fonds d'insertion pour les jeunes comédiens de l'ESAD-PSPBB ; La Passerelle, Scène Nationale de Saint-Brieuc (22) ; Les Tréteaux de France, Aubervilliers (93).
a k entrepôt est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Bretagne), le Conseil Départemental des Côtes d’Armor et la Ville de Saint Brieuc, et soutenue par la Région Bretagne et Saint Brieuc Armor Agglomération.
Laurance Henry est artiste associée du Théâtre du Champ Exquis, Scène Conventionnée Art, Enfance, Jeunesse de Blainville sur Orne (14) depuis septembre 2019.
Crédit photo : Jeanne Paturel
N’être
Les mots me manquent, et alors ? Trois adolescent·e·s confronté·e·s à la difficulté de dire, nommer, poser, déposer ce qu’ils sont. Et si les mots n’étaient pas la seule manière de s’exprimer ?
Ensemble, ils vont chercher, résister jusqu’à emprunter de multiples langages : la danse, la course, la lutte, le chant, le regard…