Lento e Largo
JONAS & LANDER
Chorégraphie : Jonas Lopes et Lander Patrick
Avec Jonas Lopes, Lander Patrick, Francisca Pinto, Lewis Seivwright, Mathilde Bonicel
Scénographie : Rita Torrão
Lumière : Rui Daniel
Maquillage : Filipa Vieira da Silva
Régie : Joana Mário et Filipe Metelo
Production : Patrícia Soares
De nationalité portugaise, JONAS LOPES entre à l’école Chapitô, où il se forme auprès de professeurs tels que Sofia Neuparth, Amélia Bentesm et António Pires. Il participe à un projet de composition musicale lors d'une résidence artistique en Italie et poursuit ses expérimentations en tant qu'acteur par un stage au Théâtre São Luiz de Lisbonne. À la fin de ses études, il part suivre des cours au Pinneaple Dance Studio et au Circus Space University de Londres. C'est làcollaboration : création en duo de Cascas d'OvO (2013), Matilda Cartola (2014), Arrastão (2015) et Adorabilis (2017). Le parcours de Jonas Lopes a également été enrichi par ses rencontres avec des artistes tels que Margarida Bettencourt, Tiago Guedes, Sofia de Portugal, Jérôme Bel, Maria João et Mário Laginha.
Chorégraphe, LANDER PATRICK a travaillé aux quatre coins du monde avec des artistes qu’il admire profondément comme Luís Guerra, Tomaz Simatovic, Marlene Monteiro Freitas, Alejandro Ahmed, Margarida Bettencourt... Son travail chorégraphique a été récompensé à deux reprises : il a obtenu le 1er prix au Koreografskih Minijatura Festival (Serbie) pour Noodles Never Break When Boiled et un 2ème prix au No Ballet International Choreography Competition (Allemagne) pour Cascas d’OvO. La pièce Cascas d’OvO a été sélectionnée par Aerowaves en 2014 et a depuis été présentée au Portugal, en Italie, aux États-Unis, au Brésil, en France, en Angleterre, en Serbie, en Pologne, en Suisse, entre autres.
Avec le soutien de l’Onda - Office national de diffusion artistique
Première en France !
Après le succès du réjouissant Adorabilis l’année dernière, Jonas Lopes et Patrick Lander reviennent avec leur nouvelle création. Influencés cette fois-ci par l’univers de Jérôme Bosch, ils imaginent une rencontre entre des humains et des robots. Au cœur d’un paysage apocalyptique, les deux entités vont tour à tour socialiser, danser, s’embrasser, commander puis obéir, d’égal à égal. Dans un tête-à-tête troublant, ils jouent à s’échanger les rôles, afin d’explorer les aptitudes et les limites de chacun. Se dessine alors un univers surréaliste peuplé de créatures hybrides, au cœur d’une chorégraphie qui pourra parfois sortir du cadre de la scène.